L’UAF prend toute la place qui lui revient…

Posté le 23.01.2018 à 19h05

L’Union des Acteurs du Football, l’UAF (1), tenait son Assemblée générale ordinaire, ce mardi dans les locaux de l’UNFP et sous la présidence d’Alain Belsoeur.

Le bilan de l’année écoulée a témoigné de la place prise par l’UAF au sein du football français, que ce soit à la LFP (avec deux de ses membres présents au sein du bureau de la Ligue, Philippe Piat et Patrick Razurel) et de la FFF, avec une représentation forte au sein de la Haute Autorité du football français, symbolisée par la présidence de Richard Jezierski.

Force de réflexion et de proposition, totalement ouverte au dialogue comme elle l’a montré à maintes reprises, l’UAF n’hésite jamais à faire entendre sa voix, à se saisir des dossiers qui impactent le quotidien et la carrière des acteurs du football, qu’ils soient sur le terrain (joueurs, arbitres, entraîneurs, éducateurs, médecins) ou au dehors (administratifs).

C’est ainsi notamment que s’est ouverte, ce mardi, une longue discussion sur les problématiques liées à « l’ordonnance Macron », qui change les règles en matière de dialogue social au sein des entreprises… Et les clubs de football, comme chacun le sait, sont des entreprises comme les autres, à l’intérieur desquelles les salariés ont des droits et des devoirs. Ici encore, l’UAF – qui travaille également en direction du monde amateur, il n’est pas inutile de le rappeler – est décidée à pleinement participer au débat,  à mettre ses compétences et son expérience au service du football français, sans corporatisme aucun, mais pour favoriser le dialogue social, outil indispensable entre les salariés qu’elle représente et les clubs qui les emploient.

(1) L’UAF est composée par l’AEF (amicale des éducateurs), l’AMCFP (les médecins de clubs professionnels), l’AMFRF (les médecins fédéraux), le GEF (groupement des éducateurs), Safe, le Snaaf, l’Unaf, l’Unecatef et l’UNFP.