Gouvernance : l’UAF, garante de l’intérêt général

Posté le 16.06.2020 à 17h29

Au prétexte de participer à l’émergence du monde d’après, il se dégage une nouvelle fois la volonté de réécrire la gouvernance du football professionnel français en écartant les acteurs de la table, que ce soit à l’intérieur du système actuel (réforme du CA de la LFP) ou avec la création d’une société commerciale, qui prendrait à sa charge le business aujourd’hui géré par la LFP.

Ce n’est certes pas la première fois que quelques présidents espèrent ainsi passer en force, y compris au sein de leur propre corporation, et, comme à chaque fois, ils trouveront face à eux un front uni, celui des acteurs, celui de l’Union des Acteurs du Football (UAF).

Il serait si simple, pourtant, tellement plus efficace aussi, et un rien démocratique pour tout dire, de donner aux acteurs la place qui leur revient, de prendre en considération leurs avis et propositions pour renouveler et améliorer le système français sans pour autant tout remette en cause.

Les acteurs via l’UAF ne se sont jamais opposés aux changements et aux avancées, qui allaient dans le sens de l’intérêt général du football français.

Au contraire, ils en ont toujours été les garants.

 

L’UAF

 

Alain Belsoeur, le président d'une UAF unie, solidaire et décidée à se faire entendre...
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